Communiqué officiel : on part à l’Ouest !
Notre appel à projets pour l’édition 2025 de la Résidence des 168 Heures est lancé ! C’est la 10ème ! Qui l’aurait cru ? Après une première édition en 2016 entre copains de Paris 8, nous décidions de rempiler l’année d’après, convaincus qu’il y a dans ce concept une opportunité de faire des films hors des sentiers battus et rabattus par une industrie qui aimerait nous faire croire qu’il n’y aurait qu’une seule manière d’en fabriquer.
Pour officialiser cette 10ème édition, nous avons décidé de changer de décors, histoire de voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Nous disons au revoir à nos chères montagnes de Savoie pour migrer vers les campagnes du Périgord. Département : Dordogne. Région : Nouvelle-Aquitaine. C’est notre ruée vers l’ouest en quelques sortes, on prend le même concept, nos cliques et nos claps et on file vers de nouveaux horizons. C’est presque la même Résidence des 168 Heures, mais ailleurs et en mieux.
Après 34 courts métrages, nous quittons les sommets des Bauges, ses chalets et ses villages d’alpages pour des paysages tout aussi inspirants et libérateurs pour faire des films. Le relief en moins, le décor n’est pas loin d’être planté pareil : les champs, les sentiers vallonnés, les lacs et étangs, les forêts, les fermes et villages, les rivières, les campings et autres attractions touristiques, les villes aussi… Vous rajoutez quelques grottes et châteaux, le soleil du Sud-ouest et la bonne humeur de leurs habitants et vous avez le combo parfait pour y implanter notre résidence.
On prend la route donc, comme tant de personnages des films que l’on a accompagné depuis 2016. Nous disons « accompagné » car dès le début, notre volonté a été comme une sorte de « compagnonnage » avec nos résident.es. Nous n’étions pas plus des producteurs qu’eux et elles étaient des cinéastes, mais ensemble nous nous sommes mutuellement élevés.
Depuis 2022, nous avons fait le choix de devenir producteurs des films de la résidence et cela demande de grandes responsabilités et des défis que nous souhaitons relever. Mais la réalité de ces temps difficiles pour notre art (et la culture en général) nous a rattrapé. Par manque de moyens, de subventions, de soutiens financiers, de moula en fait, appelez ça comme vous voulez, nos films deviennent presque plus professionnels que nous, et leurs succès par les nombreuses sélections en festivals et autres distinctions nous prouvent que nous nous devons d’être à la hauteur des espérances des cinéastes que nous choisissons de produire.
Nous sommes donc en mission. On redescend de nos montagnes mais c’est pour prendre de la hauteur, afin que la Résidence des 168 Heures devienne une structure pérenne pour une décennie encore, voire deux, trois… Soyons fous !
De tous nos petits cœurs, une montagne de mercis à celles et ceux qui nous soutiennent, et merci à vous toutes et tous pour l’intérêt que vous portez à notre résidence. On a tellement hâte de lire vos nouveaux projets de films. C’est reparti pour 2025, en Dordogne !
L’équipe des 168 Heures et Fumigènes Films :
Auguste, André, Charlène, Guillaume, Kenza, Paul, Pierre-Jean et René
Notre appel à projets pour l’édition 2025 de la Résidence des 168 Heures est lancé ! C’est la 10ème ! Qui l’aurait cru ? Après une première édition en 2016 entre copains de Paris 8, nous décidions de rempiler l’année d’après, convaincus qu’il y a dans ce concept une opportunité de faire des films hors des sentiers battus et rabattus par une industrie qui aimerait nous faire croire qu’il n’y aurait qu’une seule manière d’en fabriquer.
Pour officialiser cette 10ème édition, nous avons décidé de changer de décors, histoire de voir si l’herbe est plus verte ailleurs. Nous disons au revoir à nos chères montagnes de Savoie pour migrer vers les campagnes du Périgord. Département : Dordogne. Région : Nouvelle-Aquitaine. C’est notre ruée vers l’ouest en quelques sortes, on prend le même concept, nos cliques et nos claps et on file vers de nouveaux horizons. C’est presque la même Résidence des 168 Heures, mais ailleurs et en mieux.
Après 34 courts métrages, nous quittons les sommets des Bauges, ses chalets et ses villages d’alpages pour des paysages tout aussi inspirants et libérateurs pour faire des films. Le relief en moins, le décor n’est pas loin d’être planté pareil : les champs, les sentiers vallonnés, les lacs et étangs, les forêts, les fermes et villages, les rivières, les campings et autres attractions touristiques, les villes aussi… Vous rajoutez quelques grottes et châteaux, le soleil du Sud-ouest et la bonne humeur de leurs habitants et vous avez le combo parfait pour y implanter notre résidence.
On prend la route donc, comme tant de personnages des films que l’on a accompagné depuis 2016. Nous disons « accompagné » car dès le début, notre volonté a été comme une sorte de « compagnonnage » avec nos résident.es. Nous n’étions pas plus des producteurs qu’eux et elles étaient des cinéastes, mais ensemble nous nous sommes mutuellement élevés.
Depuis 2022, nous avons fait le choix de devenir producteurs des films de la résidence et cela demande de grandes responsabilités et des défis que nous souhaitons relever. Mais la réalité de ces temps difficiles pour notre art (et la culture en général) nous a rattrapé. Par manque de moyens, de subventions, de soutiens financiers, de moula en fait, appelez ça comme vous voulez, nos films deviennent presque plus professionnels que nous, et leurs succès par les nombreuses sélections en festivals et autres distinctions nous prouvent que nous nous devons d’être à la hauteur des espérances des cinéastes que nous choisissons de produire.
Nous sommes donc en mission. On redescend de nos montagnes mais c’est pour prendre de la hauteur, afin que la Résidence des 168 Heures devienne une structure pérenne pour une décennie encore, voire deux, trois… Soyons fous !
De tous nos petits cœurs, une montagne de mercis à celles et ceux qui nous soutiennent, et merci à vous toutes et tous pour l’intérêt que vous portez à notre résidence. On a tellement hâte de lire vos nouveaux projets de films. C’est reparti pour 2025, en Dordogne !
L’équipe des 168 Heures et Fumigènes Films :
Auguste, André, Charlène, Guillaume, Kenza, Paul, Pierre-Jean et René